lundi 28 juillet 2008

Reconnaissance du circuit VTT pour la fête

On l'a fait pour vous, et j'espère que ce compte-rendu va vous donner envie d'y participer le 23 août lors de la fête de Miélan.
Prévu samedi dernier, la rando avait été reportée pour cause de pluie. Et ce lundi, c'est sous un grand soleil, annonciateur de chaleur, que nous nous retrouvons à trois au foirail : notre vénéré président, Jean-claude et Jeff.

Sur la digue du lac de Sérian
Départ vers Trie pour emprunter le classique circuit VTT de Miélan qui nous conduira jusqu'à Estampes. Portion facile, à tendance plutôt descendante, au travers des prairies et des champs de maïs. A partir de là, ça se gâte. Longue montée d'abord sur bitume puis sur chemin qui nous amène à la clairière bien connue au milieu du bois d'Estampes. Direction ouest et bientôt nord pour rejoindre par un magnifique chemin forestier les hauteurs de Mazous au lieu dit "Laborie". 500m de route de crête vers le nord nous permettent d'admirer la superbe vue dominante sur la plaine de l'Arros et au loin sur les Pyrénées. Une jolie descente sur un bon chemin nous amène sur l'ancienne voie ferrée qui joignait Tarbes à Auch. Nous l'empruntons sur un ou deux kilomètres: c'est une piste en creux la plupart du temps, enserrée entre deux talus, on peut y voir d'anciens ouvrages d'art, des passerelles. Au lac de Mazous, nous faisons une boucle par la route de Saillères pour rejoindre les Puntous en traversant la voie ferrée et le bois très dense de Massecap. A propos de masser, on l'a bien été au passage de ce bout de sentier par les multiples ronces qui voulaient absolument traverser le chemin. Aux Puntous, on retrouve la civilisation qu'on avait oubliée depuis un bon moment. Jean-Claude profite du lieu pour récupérer ses chaussures de vélo qu'il avait laissées à la maison (rassurez-vous, il n'était pas pieds-nus). La route suit la crête, magnifique balcon sur la Bigorre et les Pyrénées en toile de fond. Et nous voici à l'entrée de la forêt domaniale de Betplan que nous allons traverser sur toute sa largeur. Très bel endroit, très frais, très aéré, très bien entretenu. Nous obliquons vers le nord sur une petite route qui nous laisse admirer une fois de plus les superbes panoramas sur la vallée de l'Arros et la montagne. Puis c'est la plongée vers Sérian, son petit lac, sa petite église.
Un peu de route tranquille jusqu'au château de Blousson (qu'on ne voit pas beaucoup) et on replonge vers le fond de la vallée du Laüs, ruisseau dont on hésite à traverser le gué qui nous semble pas catholique. La remontée sur les hauteurs de Troncens est raide, il faut tout donner. Même direction pour descendre cette fois vers la village de Troncens, fief de notre vénéré vice-président (plutôt vice que président) et il faut de nouveau remonter par une magnifique sente ombragée jusqu'au lieu dit "L'Oustalet".

En remontant vers "l'Oustalet"
La suite du circuit nous amène à traverser un grand bois, en descendant un agréable single sans difficulté et dans un décor enchanteur. Il nous conduit aux abords du lac de Monpardiac que nous allons longer sur toute sa longueur : très sympa.

Les bords du lac de Monpardiac

Retour vers Aussat, nous côtoyons la magnifique petite église puis remontons un nouveau coteau par la route. Un bon chemin nous permet de rejoindre le château d'Aux et la petite route de redescendre jusqu'au moulin sur le Boues, au pied de notre dernière côte. Celle-là, nous l'appréhendons un peu, elle est longue, elle est raide, et on en a plein les jambes. On fini par arriver en haut, certains sur leurs montures, d'autres à pied. L'essentiel c'est d'arriver!
Un dernier petit crochet vers le lac de Miélan, une longue traversée au dessus du lac vers le village puis la remontée facile vers le foirail. Ouf : 45,5km, 780m de dénivelé. Pas mal pour des vieux!
Pour conclure: jolie ballade, assez physique tout de même, donc pour personnes en bonne condition physique. Aucune difficulté technique. Il existe des possibilités d'échappatoires multiples pour raccourcir le circuit et rejoindre Miélan par la route.

allez voir le circuit et n'hésitez pas à agrandir la carte( "outils" en haut et à droite de la carte)

samedi 19 juillet 2008

Petit tour de Troncens par les lacs

N'ayant pu participer à la "ronde des maïs" Jeff a reconnu un futur tracé pour une sortie VTT du club, accompagné de Jean-Michel et de Christian, de Marciac. Parcours agréable, sans trop de difficultés, quelques singles sympa dans les bois, quelques belles côtes et de belles descentes, des bords de lacs enchanteurs. Et un temps magnifique...

Sur les hauteurs de Blousson-Sérian


                                                     Une belle côte près de Monpardiac
Promis, on le fera bientôt ensemble. JFR
Distance 31km, dénivelé 710m

19 juillet RONDE DES MAIS A CLERMONT

Peu nombreux pour cette super randonnée de Clermont-Pouyguilles. Denis , Jean-Claude, Louis, Aimé et René .

Un soleil de plomb , super, ça change, et une virée de 92 Kms en passant par Monlaur berner, Bezues bajon, tachoires, Simorre, Saramon, Sansan, Labéjan, Loubersan et retour.

Un casse-croûte conséquent avec jambon et sucreries pour affronter les belles montées et paysages proposés.

A ne pas louper l'an prochain.

Moyenne 27 K distance 92 k satisfaction 100 %

A+ René.

mercredi 16 juillet 2008

Un Tour mouvementé à Lannemezan

Nous étions partis pour la journée vers Lannemezan, pour aller voir le départ de l'étape vers Foix. Ce qui devait être une ballade de 80 km s'est terminée avec 131km au compteur et 1300m de dénivelé.
Départ de Miélan vers 8h, beau temps frisquet, 13°C. Direction Trie puis Lannemezan par la route classique de Montestruc et la côte de Castelbajac. Arrivée à Lannemezan vers 10h30, la caravane commençait à s'ébranler, la cohue partout. Aimé voulait absolument voir les coureurs au départ, nous avons donc tourné en rond pour trouver la ligne de départ. Après des tours, des détours, des demi-tours, nous avons fini par la trouver, mais il était beaucoup trop tôt sans doute, tout était bouclé, on ne pouvait approcher du podium sans un badge.
René a été reconnu par une fan du tour, il a dû signer des autographes, Jeannot a croisé Richard Virenque qui l'a embrassé. Bref tout le monde était satisfait : même Aimé qui, ayant chaussé ses pantoufles de cérémonie, a pu monter sur le podium sous les vivats de la foule en délire.
Il a fallu s'éloigner des célébrités pour rejoindre notre base d'observation de la course, nous avons opté pour une place proche du départ, pensant que la vitesse du peloton serait suffisamment lente pour nous permettre de reconnaître les coureurs.
Après une longue attente, une pause restauration où j'ai eu le privilège de goûter aux fameux sandwichs au magret de Aimé, un frémissement a parcouru la foule, le tour était là. On a dû voir les coureurs pendant au moins 7 secondes, tellement serrés les uns contre les autres que nous n'en avons reconnu aucun. Même notre spécialiste Jeannot n'en a reconnu aucun...

Bon, ils repasseront peut être l'an prochain.

Une fois la voiture-balai passée, chacun a repris sa monture pour rentrer à la maison. Je ne sais pas qui a lancé l'idée de rentrer par le col de Coupe, toujours est-il que nous nous sommes retrouvés en route vers Hèches pour escalader ce mythique col Pyrénéen. Je ne suis pas sûr que le tour de France l'ai déjà gravi.
Pas de quoi fouetter un chat en fait, on a grimpé ça au train sans trop fatiguer.

au col de Coupe (720m)


Aimé n'en n'ayant jamais assez, a proposé de rentrer par le Couret d'Asque: on n'en était plus à un col près.
On descend donc le col de Coupe, très agréable route, superbe vue sur les Baronnies. Arrivés en bas, plus de Jeannot... On attend un moment, et comme on s'était arrêtés un peu en retrait de la route, on a pensé qu'il était passé sans nous voir. On repart donc à la chasse à Jeannot, vers le Couret d'Asque. En haut du col, pas de Jeannot, on était un peu inquiets mais comme il y avait plein d'options différentes pour rentrer on a pensé qu'il avait pris une autre route.
On attend encore, et là, on ne voit pas arriver Aimé. Jean-Claude redescend le col à sa rencontre.
Au bout d'un quart d'heure, personne ne remonte. René et moi décidons de redescendre à notre tour, et nous retrouvons Jean-Claude qui remonte à Bulan. Et là on comprend: Aimé qui nous a incité à faire le Couret d'Asque, a tourné, lui vers Bourg de Bigorre, sans passer par le col.
On repart, en pétard, vers Bourg. Sur la route René reçoit un coup de téléphone, c'est Aimé qui nous attend à l'Escaladieu. On finit par retrouver Aimé, tranquillement attablé sur une terrasse de café. Bonjour l'ambiance, tout le monde s'explique, mais c'est un dialogue de sourds.
Bon, il est temps de rentrer à Miélan, il nous reste 45 kms à faire. Jean-Claude, en colère, part devant, on ne le reverra plus. Le retour est long, il fait chaud (27°C), on a soif, les jambes commencent à tirer, et il reste la côte de Saillères à monter et celle du moulin de René.
A 17h30 on est à Miélan; ouf.
Conclusions:
Je tire quant à moi 3 conclusions principales sur le comportement du groupe:
1- quand on ne connaît pas l'itinéraire, il vaut mieux coller au groupe, qui de toute façon ne quitte pas la route sans prévenir.
2- quand le groupe s'arrête pour attendre les retardataires, il vaut mieux que ça soit dans un endroit visible de tous.
3- il ne sert à rien d'avoir un téléphone portable si les numéros des copains de randonnée ne sont pas dans le répertoire
Allez, sans rancune, on fera mieux la prochaine fois. C'était quand même une ballade sympa.

JFR

samedi 5 juillet 2008

SUPERBAGNERES 5 juillet

Un temps magnifique pour cette montée vers SuperLuchon , un peu frais le matin mais nous nous sommes vite réchauffés.
Nous n'étions que 5, Jean-yves,Jean-claude,Denis,Joel et René.
Au retour 3 ont fait 5 kms de plus!!!! Quand on aime !
Jean-Yves a réussi à suivre son vélo dont il a l'air satisfait.Il peut.
Nous sommes rentrés un peu crevés, d'ailleurs Joel a même crevé en haut du col.
A plus pour une autre virée en montagne. René.